lundi 14 janvier 2013

ANTISÉMIIIITE!

Le mot "liberté" met la société en conflit avec toutes les puissances, même avec celle de la Nature et avec celle de Dieu. C'est pourquoi, lorsque nous arriverons au pouvoir, il nous faudra effacer le mot "liberté" du dictionnaire humain, comme étant le symbole du pouvoir bestial qui transforme les hommes en animaux sanguinaires... La liberté pourrait être inoffensive et exister dans les gouvernements et les pays sans être préjudiciable à la prospérité du peuple, si elle reposait sur la religion et sur la crainte de Dieu... C'est pourquoi nous devons arracher de l'esprit des masses jusqu'à la conception même de Dieu et la remplacer par des calculs arithmétiques et des besoins matériels...

"Les Protocoles Des Sages De Sion."
Serge Nilus? Matveï Golovinski? Les juifs? (1901)

mardi 8 janvier 2013

Salopes de journalistes



L'idée du capitaine d'industrie, propriétaire de grands médias, muselant ses journalistes afin de faire place nette pour ses affaires est alléchante mais largement réductrice. 

Les journalistes ne sont pas de preux chevaliers détenteurs du secret de l'Objectivité Absolue. À de rares exceptions près, ils sont comme tout le monde, le produit d'une idéologie dominante qu'ils prétendent combattre et sécrètent à leur tour. Cette idéologie s'élabore à travers une pléiade d'événements érigés en vérités absolues (la révolution française, les crimes contre l'humanité, les attentats du WTC etc.) permettant de jauger le bien, le mal, la gauche, la droite, etc. 

Au delà du danger que représente l'oligarchie, c'est notre surmoi qui nous émascule. Bien plus pernicieuse, économique et efficace, cette vision commune de la réalité se nourrit d'elle-même. Ses armes: l'ignorance, la novlangue et sa force d'inertie accouchent d'esprits toujours plus étroits et stériles, uniquement capables de désirer. Nous ne sommes plus des hommes mais seulement des consommateurs, et les investisseurs n'ont qu'à ramasser les dividendes.

Un journaliste est comme un guide pour le commun des mortels: il est supposé avoir réduit cette idéologie à néant et d'être capable de délivrer une analyse qui prend ses racines jusque dans les tréfonds de l'histoire et de la pensée humaine. Quand on lit Libération, le Monde ou le Figaro, on n'a pas cette sensation.

Quand 74% des journalistes se déclarent de gauche (sondage Harris Interactive) au beau milieu du champs de bataille entre mondialisme et enracinement, se définir encore selon ce clivage est bien le marqueur, infamant dans cette profession, d'une inculture politique paralysante. Ajoutez à cela un magnat des médias membre de l'oligarchie et en sortie de chaine, ce n'est plus de l'information qui comble les colonnes de nos journaux mais de la réclame.

Seule l'étude permet de mettre la pensée unique en perspective: la révolution française a-t-elle été un mouvement d'émancipation du peuple ou fut-ce un mouvement de remplacement d'un système de valeurs philosophique par l'avènement du libéralisme?

La monarchie de droit divin devait se soumettre aux préceptes chrétiens sous peine de subir la colère populaire. Certes, le système de valeurs qu'incarne la religion catholique pouvait être instrumentalisé mais il demeurait tout de même un système de valeurs. L'argent ne possède pas cette vertu intrinsèque. Le siècle des Lumières, en mettant la foi au crible de la raison à sacrifié inconsciemment le peuple sur l'autel du Veau d'Or. L'usure et le prêt à intérêt, armes d'asservissement des peuples, étaient honteusement tolérés sous l'ancien régime mais condamnés par l'église, ce qui limitait drastiquement leurs pouvoirs. Aujourd'hui, l'oligarchie détenant ces moyens de pressions tient le reste de l'humanité en respect.

Il ne s'agit ici que d'un exemple grossier et fragmentaire mais il éclaire déjà la République sous un angle différent et souvent occulté. D'autre part, si les services secrets n'étaient pas destinés à manipuler l'opinion, ils s'appelleraient le service public. Cette simple blague permet de comprendre qu'il existe des intérêts occultes et qu'une part de la vérité échappe aux feux des projecteurs.

Ainsi, les médias dominants sont dans le meilleur des cas, les idiots utiles ou pour le pire, des lieutenants du pouvoir en place. L'objet de leur haine ne peut-être ainsi qu'un vecteur d'émancipation des peuples. Suivez mon regard.

lundi 7 janvier 2013

vendredi 4 janvier 2013